Titre
Les Films du Réveil
Association loi 1901 production de films documentaires

Villes fertiles

61 minutes

Production : Les films du réveil et Teatroprodukció (2014)
lesfilmsdureveil.free.fr
Réalisation : Körösi Zsuzsa
Caméra : Nádorfy Lajos et Jávor István
Musique : Zolcsák Attila
Montage : Szaller Károly
Sous-titres français : Alice Emsalem


Projection de "Villes fertiles" à l'Institut hongrois de Paris - 17 avril 2015 à 20h
Pour tous les détails (résumé du film et adresse de l'Institut), téléchargez l'invitation ici.



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Villes fertiles on Vimeo.




Les films de Suzanne Körösi : Pourrier (2010), On revient sur terre (2008), L'Europe maltraitée (2005, co-auteur, co-réalisatrice avec Cécile Proust), La fin des chimères ? (2004), A nous de choisir (2003), Destins croisés (1996, co-auteur, co-réalisatrice avec Olivier Doat).

Avis sur le film
Il est impressionnant de constater que partout cette mauvaise conception de l’Europe produit les mêmes ravages. Je ne connaissais pas cette loi suisse permettant de limiter le tonnage des importations. Qu’attendons-nous pour le réclamer ? On se demande parfois si on ne devrait pas oser exiger des lois tout simplement humaines. L’espoir aussi avec l’équivalent de nos amap et jardins partagés. Une vérité énoncée par l’enseignant Gàbor qui parle du rôle de la communauté dans le changement des pensées et des pratiques. On est tout près de notre discussion d’hier soir, collectif, communauté, association. Sujet complet issu d’une page d’histoire, leçon de tolérance. Bravo Madame !
E. S.

J'ai pris beaucoup de plaisir à voir votre film. J'y ai appris des éléments historiques que j'ignorai n'étant pas au fait de l'histoire de la Hongrie et de la Bulgarie. Ces expériences hongroises sont très intéressantes et moi qui m'occupe des AMAP en Ile-de-France et en France, c'est passionnant.
A.L.V.

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Le dernier film de Suzanne Körösi nous emmène à Budapest, sa ville natale, où l’agriculture urbaine a une longue et riche tradition. Fait unique, c’étaient des maraîchers bulgares, vivant en Hongrie depuis environ cent cinquante ans, qui cultivaient les légumes dans la capitale et dans ses quartiers périphériques. Jusqu’aux années 1980 ils vendaient leurs légumes, produits sans engrais chimique et avec une faible consommation d’énergie ; on les côtoyait quotidiennement sur les marchés de la ville. Aujourd’hui la génération des 20-30 ans ne connaît plus cette minorité qui fournissait pourtant plus de la moitié des légumes consommés par les Budapestois. Où sont les maraîchers bulgares d’antan ?
Suzanne Körösi est partie à la rencontre de cinq d’entre eux, qui sont encore en activité. Ils nous racontent leur histoire en Hongrie et nous parlent des mécanismes qui les étouffent depuis l’entrée de la Hongrie dans l’Union Européenne.

Parallèlement, la réalisatrice est allée visiter les quartiers du sud-est de Budapest, qui grouillent d’idées et d’initiatives. Elles s’inspirent à la fois des traditions de Wekerle, une ville-jardin florissante avant la deuxième guerre mondiale, et des idées contemporaines de villes en transition. On y est à la recherche de moyens de faire face collectivement au réchauffement climatique et aux crises énergétiques à venir. Leur envie de cultiver de nouveau les jardins potagers en ville en est un.

Dans les interventions de toutes les personnes rencontrées dans le film, on retrouve les interrogations suivantes : comment trouver des alternatives au modèle économique dominant et pourquoi produire et consommer des aliments biologiques et locaux ?

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